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Un vendeur assassiné par l’acquéreur qui n’arrive plus à payer son viager

Le marché immobilier est en constant changement depuis les évènements du Covid-19 l’année dernière. Parmi les changements les plus courants : le viager. En effet, il se trouve que cette tendance est très à la mode en ce moment. Cependant, l’histoire suivante risque de décourager certains vendeurs en viager !

Un habitant de Longuyon (54) qui voulait acheter un bien en viager aurait assassiné son vendeur à cause de son manque de moyens financiers. En effet, l’homme n’arrivant plus à payer sa rente a plutôt décidé de tuer son vendeur plutôt que d’abandonner le logement. La cible de l’homme ? Un octogénaire belge qui vivait paisiblement dans sa région. Les faits se sont déroulés en février 2017. Le criminel, un quinquagénaire, circulait en voiture avec le vendeur quand, tout à coup, la voiture dévie de sa route et plonge dans un lac. Le quinquagénaire en ressortira vivant tandis que l’octogénaire belge sera retrouvé mort noyé. Bien qu’au début la piste de l’accident était recherchée, elle fut vite écartée pour privilégier la piste d’un homicide volontaire.

Finalement, la justice belge tranche : l’acquéreur a assassiné son vendeur pour cause financière. A l’origine, le bien était acquis en viager en 2007. Le contrat prévoyait en 2022 que le quinquagénaire et sa femme seraient propriétaire du logement. La rente mensuel du viager s’élevait à hauteur de 700 €. Le couple étant mauvais payeur, la victime avait engagé une procédure judiciaire pour arrêter la vente. Si la procédure serait allée jusqu’à son terme, le couple aurait du payer 7 000€ d’indemnités au vendeur. Finalement, le quinquagénaire a écopé d’une peine de 25 ans de prison. Quant au bien, il a été remis aux ayants droits de la victime.

Deux marchands de sommeil condamnés pour location de logements insalubres

Deux marchands de sommeil ont été condamnés à 18 mois et 1 an de prison ferme avec de lourdes amendes. En effet, les deux condamnés ont pour point commun de louer des logements insalubres ! Tout d’abord, Georgette Tohouo, est une sexagénaire condamnée pour “mise en danger d’autrui”. C’est elle qui a écopé d’une peine de 10 mois de prison pour une affaire actuelle et de 8 mois supplémentaires pour une ancienne affaire.

Cette dame avait acquis deux logements dans le 3ème arrondissement de Marseille. L’un de ces deux appartements, après l’effondrement d’immeubles voisins, a vu son plancher s’effondrer et les toilettes y passer avec. De ce fait, des fuites d’eau jamais réparées coulaient dans les escaliers continuellement. Par ailleurs, la sexagénaire ne s’est jamais acquittée de ses charges de copropriété. Elle percevait 1020€ de loyers pour ces deux biens. Dont 730€ depuis la Caisse d’allocation familiales. A deux reprises cette propriétaire s’est faite corriger par la justice pour des raisons similaires. En plus de ses 18 mois Georgette est condamnée à une amende de 10 000 €.

Le deuxième condamné s’appelle Chadi Younes. Un homme de 46 ans multi-propriétaire de 40 biens à Marseille. Ce dernier est condamnée pour mise en danger, destructions de biens pour faire fuir ses locataires et refus de re-location. En conséquence de ces actes il est condamné à 2 ans de prison dont 1 an ferme avec 50 000 € d’amende.

Des maisons en bois fabriquées en 8h et livrées en 6 mois

Une formule pour le moins étonnante. Une marque nommée Natilia assure à ses clients une fabrication de maisons en 6 mois à peine ! Son atout magique ? Le bois. En effet, là où une construction basique en béton ou en pierre dure entre 17 mois et 2 ans la bois prend 2 à 4 fois moins de temps ! Une tendance encore très jeune qui tend à gagner en popularité. De nos jours, 1 logement neuf sur 10 est fait en bois.

C’est précisément à La Charité-sur-Loire, qu’un des spécialistes construit les murs de ces maisons en bois. En effet, chaque structure est montée en 8 heures. L’usine à une capacité de construction de 3 bâtisses par jour. La méthode de cette usine est empruntée au secteur automobile. Le fonctionnement est donc à la chaîne pour permettre une meilleure productivité.

Ces maisons son modulables et peuvent mesurer entre 25 et 200 m². De plus, le prix qu’impose Natilia pour ses maisons varie entre 1 300€ à 1 600€ le mètre carré. Au final, le client paye entre 32 500 à 320 000€ pour sa maison en bois. Ses murs lui sont livrés en 4 jours maximum par camion. Finalement, la maison est montée en 6 mois en moyenne par une dizaine d’artisans. En revanche pour les maisons les plus petites ce délai peut se raccourcir à 3 mois !

Cet article a 1 commentaire

  1. j’aurai aimé VOIR VOS MODELES ET LEURS PRIX;j’ai des amis dont les parents fournissent le terrain ce à Ingré 45140. mais le mari du jeune couple(en location) n’a pas beaucoup de temps pour bricoler dans la maison. Lui est responsable plus tôt dans les voitures, la mécanique l’intéresse mieux. Sauf que le terrain est viabilisé, les parents aimeraient bien les voir construire.
    Pouvez vous m’envoyer en lien, vos gammes ou modèles et les prix qui vont avec.
    Merci

    Très cordialement

    Mme Lamoureux Couasnon

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