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Le Covid-19 n’a jamais réussi à mettre à bas les transactions immobilière, pourquoi ?

Contrairement à ce que l’on pourrait se douter, le Covid-19 n’a pas réussi à terrasser les ventes dans l’immobilier. Cependant, tout n’a pas été tout rose non plus pour ce domaine. En effet, au début 2020 le marché se retrouve à l’arrêt et tous les professionnels perdent espoir. A cause d’une crise sanitaire toujours plus persistante, les visites ont été supprimées. Confinés chez eux, les Français ne pouvaient ni visiter les biens ni les mettre à louer. Les agences immobilières se sont donc fermées.

A cause de cela, les ventes ont chuté de presque 10% autour de juillet 2020 alors que les transactions immobilières battaient leur record historique en janvier 2020. Même si cette chute a mis à mal le marché, le volume de transactions avoisinait tout de même le million. Loin d’être mauvais, ce chiffre tend même a être amélioré d’ici la fin de 2021. On attend a peu près 1,1 million de ventes ! Et oui, les Français n’ont pas abandonné leur projet pour 2020 mais l’on repoussé à 2021 voire plus. Une justification toute trouvée qui démontre la persistance de ce marché.

En revanche la crise a aussi eu un impact mitigé sur les bourses des Français. Les plus chanceux ont pu épargner avec le confinement, les moins chanceux n’ont pas eu cette opportunité. Néanmoins ce surplus d’argent mis de coté (représentant 157 milliards d’euros) s’est déversé en partie sur le marché immobilier, le maintenant en état de marche ! A côté de ça les banques se sont retrouvées face à des clients qui ont de quoi payer leur crédit plus facilement grâce à leur épargne. Ce qui a aussi aidé à relancer le marché c’est la nouvelle motivation des Français : plus de vert, plus grand et moins de monde ! 22% des nouveaux acquéreurs ont acheté dans une ville plus petite, avec plus de verdure et des espaces plus grands. En bref, le marché immobilier à encore de belles perspectives d’avenir.

La province bat des records de prix immobiliers !

La monté des logements anciens ne s’arrête plus ! Depuis le premier trimestre 2021 les prix ne font qu’augmenter. Au deuxième trimestre 2021 le prix des logements anciens ont bondit de 5,9% sur un an au total. Dans les régions de France, les prix augmentent de 7% tandis qu’en Ile-de-France le contraste se démarque un peu plus avec des prix en baisse. Les Notaires du Grand Paris souligne que l’essentiel de l’activité se joue en dehors de l’Ile-de-France. Plus concrètement sur 12 mois consécutifs, on dénombre 1,200 millions de ventes. Sur ce chiffre, seules 160 000 ventes sont à déclarer dans la région parisienne. Les ventes se concentrent donc surtout sur le reste des régions Françaises. La hausse des prix trouve donc son origine ici, tout comme la majeure hausse des prix des maisons. Une hausse plus forte que celle des appartements (une première depuis 2018).

Plus concrètement en chiffres, les maisons augmentent de 5,1% en Ile-de-France depuis un an. Cette hausse ne s’élève qu’a hauteur de 2,1% pour les appartements. En province la hausse est plus marquée avec respectivement +7,1% et +6,7%. Sur Paris même les prix ont trouvé leur stabilité avec -0,2% sur un an.

Une villa sur le point de battre le record de la maison la plus chère du monde ?

Crédit photo : Cogemad / Douglas Friedman

Il y a peu, un promoteur en Amérique a annoncé vendre, sur Los Angeles, une magnifique villa au prix de 340 millions de dollars. Soit 275 millions d’euros ! La question est : Quelqu’un peut-il s’offrir ce gigantesque bien ? S’il trouve preneur, ce bien pourrait établir un record jusque là détenu par le Château Louis XIV. Le château a d’ailleurs été acheté par un prince héritier saoudien.

Ce bien s’ancre depuis un bout de temps dans un projet mené par le promoteur Nile Niami. Ce projet, mené sur 10 ans, devait aboutir sur la plus grande maison privée du monde. A l’origine, le prix désiré était de 500 millions de dollars. Ce chiffre a finalement été trop ambitieux et revu à la baisse (340 millions de dollars). Le bien affiche 10 000 mètres carrés habitables (contre 5000 pour le Château Louis XIV) et 3,2 hectares (pour 23 du côté du château Français). En revanche, le promoteur immobilier semble ne pas pouvoir rembourser 165 millions de dollars liés au projet de ce bien. En effet, ce dernier semble être un gouffre financier difficilement maitrisable.

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