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Réforme des APL : 41% des bénéficiaires sont perdants

C’est avec deux ans de retard que la fameuse réforme des APL a pointé le bout de son nez le 1 janvier 2021. Presque 6 mois plus tard, certains chiffres ont fuité et un premier bilan est possible. En effet, la CAF (caisse d’allocations familiales) qui gère le dispositif a malencontreusement laissé fuité quelques chiffres. D’après ces données, il semblerait que le nombre d’allocataires ait baissé de 8% entre décembre 2020 et janvier 2021 (source : Les Echos). Un chiffre expliqué par la saison et l’actualisation des ressources des allocataires avec la nouvelle réforme. Mais pendant le premier trimestre 2021, 67 000 nouveaux bénéficiaires sont à déclarer.

Selon ces chiffres, les estimations du volume global d’allocations versées au premier trimestre 2021 sont pratiquement les mêmes que l’année dernière. Sur les deux années on table sur 1,2 milliard d’euros versés par mois. Tous ces chiffres ne sont qu’un point de départ et un réel bilan ne sera réalisable qu’a compté de la mi juillet 2021 annonce Emmanuelle Wargon.

Plus concrètement, il sera donc possible d’établir si cette réforme fait plus de gagnant ou de perdants. Pour l’instant les chiffres annoncent une majorité de perdants, surtout pour les jeunes actifs. En effet, seulement 26% des locataires ont vu leurs allocations augmenter à cause d’une diminution de leurs ressources en 2020. 17% des bénéficiaires n’ont pas connu de hausse et 41% d’entre eux ont observé une baisse de leurs APL. Un chiffre à prendre avec des pincettes puisque parmi ces 41%, 23% des foyers ont eu une baisse d’APL car leurs revenus ont augmenté sur 2 ans d’affilés. Cette réforme fera tout de même grincer des dents les jeunes actifs car désormais l’APL est calculée sur leur salaire et prend en compte l’amélioration de leur situation. 40% de ces jeunes actifs déclarent avoir subi une baisse d’APL entre 2020 et 2021.

Un retraité vend sa propriété à moitié prix, en viager et sans rente à payer !

L’histoire prend place en Normandie ! Beaucoup de citadins rêvent de se mettre au vert. Avec les récents confinements, les grandes villes, la pollution et les espaces restreins ne donnent plus du tout envie au Français. Si vous aimez les petits villages, ensolleillés et boisés, la ville de Grandouët-Cambremer, au cœur du Pays d’Auge (14) devrait vous plaire.

Car c’est ici que trois maisons (formant une seule et même propriété) sont à vendre pour un prix dérisoire ! Ces 3 maisons sont établies sur presque 2 hectares de terrain. Les 3 demeures font 77, 127 et 146 m². Leur propriétaire, un octogénaire, a décidé de les céder en viager. Cependant, il souhaite continuer à louer ces 3 demeures. La vente se fera donc en nue propriété. Concrètement, l’acquéreur n’occupera les lieux qu’a la mort du vendeur. En revanche, ce dernier n’aura à débourser que 598 000 € au lieu de 1,05 million € ! Une baisse donc de 43% !

Dernière chose, l’acquéreur n’aura pas de rente à devoir au propriétaire actuel des lieux. Par contre, la propriété doit être payée cash ! Une somme difficile à sortir des poches, surtout en temps de crise. Les 3 maisons ont été refaites à neuf donc aucun travaux à prévoir. La propriété cherche encore un preneur.

Un château mis en vente pour 90 000 € par la Ville de Paris

Crédit photo : Agorastore

La Ville de Paris continue son débarras des patrimoines “trop encombrants”. D’après les estimations de la Marie de Paris en février dernier, la capitale aurait 19 000 biens immobiliers en sa possession. Parmi eux, 514 seraient repartis hors de Paris dans 27 départements différents. L’année dernière, déjà, la ville s’était séparée de la Chartreuse de Glandier en Corrèze avec une mise aux enchères à 750 000 €. Le prix finale s’est fixé à 3 millions d’euros pour ce magnifique monastère.

La Ville de Paris recommence le processus avec une somptueuse bastide du 18ème siècle : le château de Nescus. La propriété s’étale sur 1 400 m² habitables et 22 600 m² de terrain. Le tout pour une enchère débutant à 90 000 € ! Une offre totalement alléchante, soit 65 € du mètre carré.

Bien que l’extérieur donne envie, l’intérieur quant à lui est une toute autre chose. En effet, la bâtisse est inhabitée depuis 2007. Entre temps, les murs se sont couverts de tags, la structure s’est fragilisée et tout le reste du domaine et sans dessus-dessous. Pour pouvoir acquérir le bien, une visite est obligatoire. Ce château trouvera t’il un propriétaire ? Réponse en septembre 2021, là ou les enchères débuteront !

Cet article a 1 commentaire

  1. Bonjour.

    Peut on savoir les acheteurs ? ou , au moins, un moyen de le savoir ?

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