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Squats : le top des astuces à savoir avant de partir en vacances

Les grandes vacances sont bien d’actualité ! Pour certains, les grandes vacances sont source de détente, pour d’autres elles sont source de stress. En effet, avec les nombreuses affaires de squats qui se déclarent en ce moment, les propriétaires ne sont pas à 100% sereins. L’idée de laisser son logement sans surveillance ne rassure pas, cela se comprend.

Il y a 2 ans, seuls 45% des Français étaient inquiets concernant les squats. Aujourd’hui, plus de 66% des Français en ont peur (selon l’Ifop). Cette hausse va de pair avec la multiplication des squats ces derniers mois. La marque Verisure, vendeur d’alarmes, aurait multiplié ses ventes par 30% sur un an !

Une solution qui rassure les Français et qui est très pratique contre les squats et les cambriolages. Néanmoins, ce n’est pas la solution préféré des habitants de l’hexagone. La plupart d’entre eux pensent que leurs voisins les alerterons en cas d’intrusion dans leur domicile. Sachez toutefois quand cas d’intrusion, vous pouvez déposer plainte auprès d’un commissariat de police contre un squatteur même après 48 heures. Une fois cela fait, vous pouvez adresser à votre préfecture une demande d’expulsion. A votre charge de prouver que le logement vous appartient et que l’intrusion est illicite. Au passage il est plutôt curieux que ça ne soit pas à l’intrus de prouver la légalité de sa présence sur les lieux.

Quoi qu’il en soit, le préfet aura 48h pour accepter ou non votre demande. S’il accepte, l’intrus aura 24h pour quitter votre bien. Dans le cas contraire, ça sera un retour à la case départ pour vous. Dans ce cas vous connaissez la chanson : procédure longues, couteuses et incertaines… Attention : ne vous faites pas justice vous-même ! Si vous expulsez le locataire par vos propres moyens vous risquez 30 000 € d’amende et 3 ans de prison. A titre de comparaison un squatteur risque 15 000 € d’amende et 1 an de prison.

La cabine de plage : un marché en plein envol en Angleterre

Crédit photo : La Voix du Nord

Ces cabines sont jolies avec leurs couleurs variées mais pas que ! En effet, le marché de la cabine de plage est entrain de stimuler l’environnement immobilier britannique. C’est depuis l’ère du Covid-19 que la demande pour ces petits abris explose. Dans la station balnéaire de Walton-on-the-Naze, certaines de ces maisonnettes se sont envolées à plus de 80 000 livres, soit 92 500 €. Un prix plutôt affolant quand on sait que le prix moyen d’une maison classique en Angleterre est de 255 000£. Un prix assez ridicule en comparaison avec une autre cabine de plage dans le Dorset, dans la manche, qui a établit un record ! Une vente à 330 000 livres (380 000€) !

Pour ce prix on pourrait s’imaginer le nec plus ultra du luxe. Que nenni ! La plupart de ces cabines ne sont pas branchées à l’électricité ou à l’eau et il est interdit d’y dormir. Le prix moyen pour ces cabines sur la côte britannique se situe entre 50 000 et 60 000£. Une augmentation de 100% par rapport à l’année dernière ou le prix moyen s’élevait à 30 000£.

Pénurie des matériaux : Quels surcoûts pour vos projets de travaux de rénovation ?

La perturbation du marché immobilier est loin d’être la seule conséquence de Covid-19. La pénurie des matières premières fait partie des symptômes secondaires de cette crise. Sauf que cette pénurie impacte toute la chaine économique. En effet, les constructions neuves, l’électronique et les rénovations en pâtissent. A vrai dire, c’est surtout la situation du bois et du métal qui sont préoccupantes.

La société Hemea, plateforme d’architecture et de rénovation, estime ce surcout entre 5% et 15% (sur plus de 300 chantiers). Plus concrètement voici quelques chiffres en fonction de chaque secteur de rénovation :

  • La peinture : + 15% ;
  • Les panneaux de toiture : +40% ;
  • Le carrelage : +20% ;
  • Le plâtre : +22% ;

Sur 6 mois, les matériaux suivants ont explosé :

  • Le bois brut : +48% ;
  • Le cuivre : +51% ;
  • L’acier : +57% ;
  • L’aluminium : +61% ;
  • Le PVC : jusqu’a +112%/

Ainsi, la hausse de ces prix peut faire gonfler la facture finale assez facilement. Pour une salle de bain, la facture augmente à hauteur de 5,9%, pour repeindre une pièce de 50m² comptez 10% supplémentaires sur le prix final. Ces pénuries s’expliquent par le prix des transports lointains qui ont triplé de plus de 80%. Etant donné que la plupart de ces produits viennent des Etats-Unis, de l’Inde ou de Chine, les prix gonflent. En parallèle, les entreprises constituent des stocks (alimentant la crise) et les foyers représentent une forte demande de rénovation. Tous ces indicateurs indiquent un maintient continu de cette hausse des prix.

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