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Voici une belle plus-value pour Julie Gayet et François Hollande pour la vente de leur maison

Les temps sont durs pour les vendeurs immobiliers. Il est difficile de trouver des acheteurs prêts à payer le juste prix. Même si vous êtes la partenaire du président de la République et que sa maison est bien meublée. Située place Montsouris dans le 14ème arrondissement de Paris, à deux pas du parc du même nom (photo ci-dessous), cette demeure des années 1920 dispose de 200 m² habitables et d’un jardin de 70 m². Un bien rarissime, surtout pour une “maison de campagne” parisienne. Après plus de deux ans sur le marché, la maison a enfin trouvé acquéreur. Ses propriétaires ne sont autres que Julie Gayet et François Hollande.

La maison a été achetée par l’actrice pour 2 millions d’euros en juillet 2019. Quelques mois plus tard, en pleine crise sanitaire, François Hollande et Julie Gayet décident de la mettre en vente. La maison s’est vendue aux alentours de 3,3 millions d’euros, soit 16 500 euros le mètre carré. Selon les experts, ce prix est largement supérieur au prix moyen de la place Montsouris, qui avoisine les 12 000 euros le mètre carré. “C’est un record!”, a déclaré un agent immobilier familier avec le quartier. Les rénovations immobilières n’y sont pas pour rien. Cependant, toutes les propriétés de cette ruelle ne sont pas garanties d’atteindre un prix aussi élevé au mètre carré.

Est-ce légal de louer un logement moins d’un an ?

Au Pays basque, la location touristique subit une pression croissante. Mais pas seulement. Les pouvoirs publics et les associations recherchent également les contrats de location frauduleux. La convention est la suivante : la période de location est de septembre à juin. Le logement est ensuite loué aux touristes pendant l’été, avec des prix qui explosent. Pour ALDA, une association, ce serait illégal. Elle appelle les pouvoirs publics à sanctionner les fraudeurs et demande que ces contrats soient transformés en baux classiques d’un an.

Qu’en est-il de la réalité ? Est-il vraiment illégal de louer une maison moins d’un an ? La loi dit clairement que : la réponse est non. Appelés baux de mobilités, ces derniers sont légaux, mais uniquement pour les locataires étudiants, stagiaires ou encore en mobilité professionnelle. Mais de plus en plus de propriétaires de zones touristiques proposent ces contrats à leurs salariés. Mais dans ce cas, la loi est aussi stricte : les baux doivent être signés “pour un an au moins” (article 25-7 de la loi du 6 juillet 1989), et “renouvelés par défaut pour un an”. A défaut de préavis des parties au contrat, le délai est d’un an”.

Des SDF font d’un logement prêté un squat de trafic de drogue

Dans l’immobilier, la gentillesse peut vous faire mal. Une Toulousaine l’a douloureusement découvert récemment. Pendant deux mois, la jeune femme de 21 ans a accepté de prêter son bien à des SDF (deux “connaissances”) pendant les vacances. Quand elle est revenue, c’était le choc ! La serrure de son appartement avait été changée et les occupants refusaient de l’ouvrir. La jeune femme a signalé l’affaire à la police qui, après son arrivée, a découvert que le squat d’origine était devenu un repaire de trafiquants de drogue.

Après l’intervention la police constate sur les lieux deux personnes, âgées de 27 et 26 ans, arrêtées immédiatement. L’un d’eux était détenu dans un centre de rétention administrative et l’autre a comparu devant le tribunal le 11 août, selon Le Figaro, qui a également. La décision de justice sera prise le 21 septembre. De ce fait, la jeune femme a pu récupérer la résidence assez rapidement, ce qui n’est pas souvent le cas dans ce type d’affaire. Généralement, le squatteur doit être légalement expulsé dans les 72 heures suivant le dépôt de plainte. En pratique, s’il y avait des enfants en bas âge ou des infirmes parmi les squatters, l’évacuation se fait au bout d’une dizaine de jours voire de semaines.

Cependant, dans ce cas, les squatteurs ne peuvent pas être considérés comme tel car ces derniers sont entrés avec le consentement de l’occupant et n’ont donc pas pénétrés par effraction dans le logement. Ils auraient donc été hébergé gratuitement, a priori. Dans ce cas, le processus d’expulsion est beaucoup plus long et peut durer plusieurs mois voire plus d’un an.

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